Malédiction, une saga fantastique

Date de parution : 22 avril 2011

Résumé :

Depuis que je suis un vampire, ma vie est un vrai chaos. Entre mon histoire d'amour impossible et mes problèmes avec les chasseurs, je touche le fond. Mais j'ai bien l'intention de me reprendre.

D'abord, trouver un travail. Or avec moi, un entretien d'embauche a vite fait de se transformer en cauchemar. Et pour couronner le tout, voilà qu'une sorcière me transforme en nocturne, une espèce de vampire dangereuse et allergique au soleil. Finie, la bronzette. Génial !

Je commence à me demander si quelqu'un là-haut n'a pas une dent contre moi...

 Mon avis :

Cette fois, on retrouve Sarah après l'avoir quitté pendant le tome 3. Même si c'était dommage, on comprend mieux ce tome surtout la fin. Les aventures de Quinn et Janie se répercutent sur cette pauvre Sarah qui doit en plus gérer ses problèmes de coeur et sa petite malédiction qui fait d'elle une nocturne. Mais l'arrivée d'un personnage prénommé le Diable Rouge, donne un peu de piquant, car entouré de beaucoup de mystère.

 Mon passage préféré :

"Et, alors que ses lèvres rencontraient les miennes, je découvrir que moi aussi, je pouvais oublier le Diable... euh... quelque soit son nom. Je m'abandonnai à son baiser, enlaçant Thierry et me retenant à lui quand il me souleva dans ses bras pour m'emmener sur le canapé, où notre baiser devint plus passionné et plus pressant. Assez pressant pour que je me demande s'il avait fermé la porte à clé, au cas où quelqu'un entrerait et nous surprendrait en train de faire l'amour. Mon coeur qui battait de nouveau s'emballe quand ses mains descendirent le long de mon corps.

Comment un homme qui était mon opposé en tout pouvait-il faite naître en moi un tel désir ? Qu'y avait-il de si spécial chez lui, que j'en été tombée éperdument amoureuse ? Il était comme une étrange recette avec tous les bons ingrédients. Il y avait là des choses qui n'allaient pas ensemble, et qui semblaient même immangeables. Mais il suffisait de les combiner toutes, d'enfourner et, une heure plus tard, de déguster le mets le plus exquis que j'avais jamais goûté.

Oui, c'était Thierry.

Il n'était pas au goût de tout le monde, mais il était définitivement à mon menu. Et j'en voulais au petit-déjeuner, au déjeuner, au dîner et pour mon en-cas de minuit.

J'avais parfois douté de ses sentiments pour moi, et cela m'arrivait encore. Il était difficile à lire, à cause de cette façade derrière laquelle il se cachait. Mais je savais qu'il m'aimait, même s'il ne le criait pas sur les toits. Il me le prouvait par ses actes, ses faits et gestes et toutes sortes de choses non verbales. Et il me le murmurait quand nous faisions l'amour.

Il m'aimait. Je l'aimais. Et rien de mal n'allait se passer entre nous."